Pharmacies - Octobre 2023

Salariés d’officine : Pour une mutuelle et une prévoyance zéro tracas !

Salariés d’officine : Pour une mutuelle  et une prévoyance zéro tracas !
Quel pharmacien titulaire n’a jamais eu à se battre pour toucher des indemnisations d’arrêts de travail, obtenir l’affiliation d’un collaborateur ou débloquer des remboursements de soins qui s’éternisent ? Il existe pourtant un moyen simple d’échapper une fois pour toutes à ces tracas, sans débourser un centime.

Sur le papier, les titulaires et collaborateurs d’officines n’ont pas à se plaindre : leur Convention Collective Nationale (CCN) les protège plutôt bien, tant pour les frais de santé que pour la prévoyance (arrêts de travail, invalidité et décès). De plus, cette convention connaît régulièrement des améliorations. Ainsi, les avenants de 2019 et 2020 ont conduit à une harmonisation du contrat de base de la mutuelle ; cadres et non-cadres bénéficient désormais de la même couverture.

Pas si simple, la Convention Collective Nationale

 

Alors, qu’est-ce qui coince ? Pourquoi le système se grippe-t-il si facilement, obligeant les assurés à passer des heures au téléphone pour obtenir des explications ou faire avancer leur dossier ? Élisabeth Jamet, responsable de l’activité Officines d’Assufrance, répond :

 

« La première raison, c’est la complexité de cette convention collective. La cotisation de mutuelle est en partie proportionnelle au salaire brut de chacun et peut donc varier d’un mois à l’autre ; il existe trois niveaux de surcomplémentaire santé ; si un cadre est en arrêt de travail, la prévoyance prend en charge sa rémunération après trois jours ou trois mois selon son ancienneté, etc. » Difficile pour les non spécialistes d’y voir clair !

Un service de qualité pour des centaines d’officines

 

Autre explication : Klésia, l’assureur de référence des officines, n’est pas structuré pour répondre à de multiples demandes individuelles. « Sa grande force, décrit Élisabeth Jamet, c’est de savoir adapter ses garanties quand des avenants modifient certaines règles de protection sociale des salariés d’officines : le pharmacien titulaire a la certitude de bien respecter la CCN. En revanche, Klésia est moins performant en gestion quotidienne. »

 

Voilà pourquoi, en 2019, Klésia s’est rapproché d’Assufrance pour lui proposer de commercialiser ses produits. « Nous avions la taille et l’agilité nécessaire pour être l’interface entre assureur et assurés. » Aujourd’hui, le cabinet gère les contrats de frais de santé et de prévoyance de plusieurs centaines d’officines, dans toute la France. Aux mêmes tarifs que Klésia, mais avec une organisation souple et réactive qui répond mieux aux besoins des officines.

Informer et conseiller sur les contrats

 

Sa première mission, c’est d’informer et de conseiller sur ces règles du jeu si complexes. Quelle surcomplémentaire santé souscrire selon le nombre et l’âge de ses enfants ? Comment procéder pour être affilié rapidement quand on vient d’être embauché ? Et pour changer d’affiliation quand on rejoint une autre officine ? Le titulaire doit-il prendre un régime complémentaire prévoyance pour ses cadres afin de diminuer le délai de franchise et de réduire le coût de leurs arrêts maladie ?

 

« Nous ne laissons aucune question sans réponse, insiste Élisabeth Jamet, afin que nos clients prennent des décisions éclairées. »    


Retards, documents perdus, dossiers bloqués : on s’en occupe !

 

Seconde mission : gérer les problèmes liés au fonctionnement des contrats, pour que les équipes d’officine n’aient pas à s’en occuper. Élisabeth Jamet et son équipe interviennent par exemple sur des arrêts de travail dont l’indemnisation n’arrive pas, ou des dépenses de chirurgie qui tardent à être réglées ; sur des bulletins d’affiliation qui se sont égarés, ce qui bloque tout remboursement de soins ; sur les cas de salariés qui changent d’officine, mais ne parviennent pas à s’affilier aux contrats de leur nouvel employeur.

 

« En général, nous échangeons plutôt avec le titulaire pour la prévoyance, et avec ses collaborateurs pour la mutuelle, précise Élisabeth Jamet. Et chez Klésia, nous avons accès à une hot line, avec au bout du fil des interlocuteurs joignables et réactifs. Nous réglons les difficultés au plus vite et nous garantissons au titulaire que tout est en règle, notamment dans l’éventualité d’un contrôle URSSAF. »

Dans les équipes, une sérénité retrouvée

 

Depuis quatre ans, ce fonctionnement fluide et professionnel a connu un succès croissant. Assufrance a commencé par signer des contrats de mutuelle et de prévoyance pour chaque officine, avant de passer la vitesse supérieure : il travaille aujourd’hui avec des groupements de toutes tailles. Le principal bénéfice pour les intéressés ? « La sérénité. Quand les collaborateurs ne sont plus perturbés par des soucis administratifs à répétition, ils deviennent plus disponibles pour leurs clients. »