Prévoyance - Juillet 2023

Arrêt de travail : comment la prévoyance peut sauver votre entreprise

Arrêt de travail : comment la prévoyance  peut sauver votre entreprise
Quand un dirigeant cesse de travailler pour raison de santé pendant des mois, il ne perçoit plus de revenus et sa société se retrouve en difficulté. Seule façon d’éviter ce scénario : souscrire un contrat de prévoyance, avec les conseils d’un expert du sujet. Deux de nos clients témoignent

Les soucis ont une fâcheuse manie : ils arrivent en tir groupé. En 2020, Thierry S., dirigeant d’une PME jusque-là prospère, a connu avec le Covid son pire exercice depuis vingt ans. Mais surtout, en juillet, la découverte fortuite d’une grave maladie l’a conduit à une intervention chirurgicale suivie de seize mois d’arrêt de travail.


« Sans prévoyance, j’aurais dû puiser dans ma trésorerie »


« Sans prévoyance, j’aurais été privé de rémunération, donc forcé de puiser dans ma trésorerie, puis dans les fonds propres, avec pas mal de mauvaise conscience. Grâce à mon contrat, j’ai continué à toucher un revenu chaque mois. J’ai pu décrocher complètement pour consacrer mon énergie à me soigner. »

Pour Fabrice T., gérant d’une PME du bâtiment, les pépins se succèdent depuis des années : accident de ski, chute depuis un toit, intervention chirurgicale lourde, AVC, douleurs articulaires invalidantes… Il alterne les périodes d’activité et les arrêts de travail, pendant lesquels son assureur prend le relais chaque fois.

 

« Ce que touche du SSI ne paie que le crédit de la maison »

 

« Je fais un métier éprouvant physiquement et je me suis abîmé la santé. Si je n’avais perçu que le SSI (Sécurité sociale des indépendants), il aurait tout juste payé le crédit de la maison et je n’aurais rien eu pour vivre. Heureusement, ce revenu de remplacement est là. Je peux assurer le quotidien et m’occuper vraiment de moi.»


Pourquoi ces dirigeants sont-ils correctement couverts, alors que d’autres reculent devant le coût d’une prévoyance ou se contentent de garanties minimales ? « J’ai été bien conseillé, répond Thierry T. Mon interlocuteur Laurent Moutou m’a guidé parmi la multitude de contrats du marché, et a calculé avec précision les montants dont j’avais besoin. Je n’ai payé ni trop ni trop peu. »

Être guidé dans le maquis des contrats

 

Même son de cloche chez Fabrice T., qui a souscrit sa première prévoyance sur le conseil de son comptable, alors qu’il n’avait que 35 ans et pratiquait l’alpinisme, le ski de randonnée et le parachutisme. « À l’époque, je n’aurais jamais imaginé la succession de pépins physiques qui m’attendait. Mais je faisais confiance à ce comptable ; bien m’en a pris. »

 

Là encore, l'équipe Assufrance l’a accompagné dans le maquis des offres. Le contrat qui le protège depuis cette époque présente deux points forts. D’abord, il maintient ses versements mensuels même si la Sécurité sociale met fin à sa couverture ; ce qui arrive parfois quand les arrêts sont trop longs et trop rapprochés.

 

De plus, l’assureur finance les versements réguliers d’épargne-retraite, dès qu’un arrêt de travail dépasse trois mois. « Je ne peux pas faire mon métier, je ne touche pas de rémunération, mais je continue à mettre de côté pour mes vieux jours » souligne Fabrice T.

Ne jamais se retrouver seul face à l’assureur

 

Sur des accidents de santé aussi sérieux, il arrive que la machine administrative de l’assureur se grippe : demandes répétées de documents, versements mensuels en retard… « Mon épouse a suivi ces incidents avec beaucoup de ténacité, et l’équipe d’Assufrance a été à ses côtés pour rappeler, relancer et trouver le bon interlocuteur, raconte Thierry S.. Grâce à ces soutiens, je ne me suis jamais retrouvé seul face à un mur. »

 

De même, Fabrice T. s’appuie sur son conseiller Laurent Moutou quand il a besoin d’explications.  Exemple : pourquoi son assureur le convoque-t-il pour une visite de contrôle après un an d’arrêt de travail ? Ce conseiller l’a également épaulé pour monter un dossier de contestation, le jour où la Sécurité sociale a cessé d’indemniser son arrêt.

 

« Sans prévoyance, j’aurais perdu ma maison, c’est certain, et peut-être ma PME » estime l’entrepreneur. Un avis partagé par Thierry S. : « je suis tombé malade au plus mauvais moment pour ma société, ce qui aurait pu la condamner. Heureusement, j’ai réussi à bien limiter la casse ! »